Crédit photo : Laurent Perpigna Iban
Autrice du livre « Harkis, un passé qui ne passe pas », l’historienne Katia Khemache s’est replongée dans le parcours de ces supplétifs de l’armée française qui, à la fin de la guerre d’Algérie, ont dû poser leur peu de bagages au camp de Bias (Lot-et-Garonne). Une étape marquée du sceau de l’exclusion et de la ségrégation, qui laisse des traces encore vives auprès des générations suivantes.
Aujourd’hui à notre micro, Sevan Hosebian-Vartanian pour son article « Harkis du Lot-et-Garonne : une mémoire encore vive » paru sur Revue Far Ouest.