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Le 24 février, Rozenn Kevel* écrivait un tweet dans lequel elle dénonçait le greenwashing de son employeur, Chronodrive. Le 6 mars elle était mise à pied avant d’être licenciée, il y a quelques jours. L’étudiante de 19 ans, qui vit à Toulouse, estime qu’on lui fait payer son engagement syndical, et le fait d’avoir dénoncé le sexisme et le harcèlement subis par certaines de ses collègues à l’intérieur de l’entreprise. Nous avons souhaité lui laisser longuement la parole dans cet épisode hors-série, elle qui se bat pour faire respecter le droit des travailleurs précaires, des étudiants, et des femmes dans le monde professionnel notamment.
*A sa demande, son nom de famille a été modifié.