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Contrainte de se moderniser lors du passage du franc à l’euro, l’usine girondine de la Monnaie de Paris, à Pessac, redoute aujourd’hui les conséquences que la suppression prochaine des pièces de 1 et 2 centimes pourrait avoir sur ses effectifs. Un coup dur raconté de l’intérieur par notre consœur du Monde Claire Mayer, tandis que la monnaie européenne célèbre son 20ème anniversaire.