Photo : Magali Maricot
Il y a cinq ans, on dénombrait en moyenne 522 suicides par an de personnes affiliées au régime agricole. Dans les deux-Sèvres, des formations baptisées « Sentinelles » accompagnent les exploitants ayant été, d’une façon ou d’une autre, déjà concernés par ces drames. Soutien psychologique, aide au répit, service de remplacement…: à la suite de l’éveil des consciences du côté du gouvernement, d’autres solutions sont peu à peu mises en place.
Pauline Moullot est au micro de Miren Garaicoechea pour son article « Suicides chez les agriculteurs: «On connaît forcément des gens qui sont passés à l’acte» » paru dans Libération.